"Dans la confusion de notre époque quand une centaine de voix contradictoires prétend parler au nom de l'Orthodoxie, il est essentiel de savoir à qui l'on peut faire confiance. Il ne suffit pas de prétendre parler au nom de l'Orthodoxie patristique, il faut être dans la pure tradition des saints Pères ... "
Père Seraphim (Rose) de bienheureuse mémoire

vendredi 12 juin 2009

Miracle de saint Jean de Cronstadt



St. John of Kronstadt (1)

Holy relics of St. John, located in the crypt of the St. John of Rila Women's Monastery, which he founded in northeastern St. Petersburg

Cet incident a été publié un jour dans la presse. Dans le sud de la Russie, vivait une riche Israélite, commerçant, et en même temps rabbin de la synagogue locale. Sa femme était tombée malade du cancer de l'œsophage. Vers la fin, la maladie faisait que l'œsophage ne laissait rien passer, ni la nourriture, ni l'eau.

Les médecins déclarèrent que l'état de la femme était désespéré, et elle était complètement épuisée.

Craignant la mort, elle commença à supplier son mari de sauver sa vie. Voyant la grande peine de l'Israélite, ses pieux partenaires d'affaires de Russie ont commencé à suggérer: "Envoyez un télégramme au Père Jean Sergiev [de Cronstadt], il aide tout le monde!"

Le rabbin fut d'accord et bientôt il envoya un télégramme et de l'argent. Bientôt, un télégramme arriva en retour: "Je prie. Elle sera guérie. Jean Sergiev ".

Quand l'Israélite lut le télégramme à sa femme, elle devient perturbée et commença à faire des reproches à son mari: "Tu es rabbin. Ne pouvais-tu prier toi-même? Fallait-il que tu aies recours à un prêtre orthodoxe?"

En voyant sa femme dans une telle situation, l'Israélite ne sut quoi dire et, dans le but de calmer sa femme, il lui donna un verre d'eau. La femme le prit et, oubliant qu'elle n'avait pas pu boire pendant une longue période, elle but facilement l'eau.

C'est alors seulement que tous deux se rendirent compte que le miracle s'était produit. Après cela, la femme a commencé à sentir la faim et a demandé de la nourriture. À la grande surprise de son mari, elle mangea sans aucune difficulté.

Les médecins furent surpris de la guérison de cette malade incurable.

On pourrait supposer que la femme était atteinte, non pas du cancer, mais d'un spasme hystérique de l'œsophage. Cependant, avec ce dernier, les médecins disent que l'œsophage ne perd pas sa capacité à boire de l'eau, ce qui est arrivé à la femme du rabbin.

Version française Claude Lopez-Ginisty
d'après

Photo et reliques de Saint Jean de Cronstadt

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